Le festival de Puteaux 2012 est fini, et nous nous sentons orphelins des auteurs que nous avons accueillis ces 3 jours, mais aussi de nos amis dela BDqui sont venus nous rejoindre, et nous ont prodigué encouragements et conseils pour l’avenir. Nous avons vu beaucoup de gens heureux :
– les scolaires de Puteaux qui ont pu profiter du festival enfants dans la journée du vendredi où ils ont eu pour eux seuls une vingtaine d’auteurs avec qui ils ont pu discuter et avoir des dédicaces,
– les enfants qui ont pu profiter samedi et dimanche de nombreux ateliers à leur attention, de Radio Kids, du mur de la BD,
– des enfants et adultes qui se sont vu proposer des Contes à Bulle, un Concert dessiné, une Performance,
– des auteurs qui ont été choyés pendant ces 3 jours avec un programme ludique leur étant rarement proposé dans les autres festivals. C’est notamment grâce aux conditions d’accueil du Festival de Puteaux que nous arrivons à obtenir la présence d’auteurs peu souvent vus en festival, notamment en région parisienne,
– des enfants et adultes qui ont grandement profité de la rencontre, de l’échange et de la dédicace des auteurs qu’ils apprécient.
Et puis il y eu des gens qui semblent moins heureux, parce que certaines difficultés sont apparues, les empêchant d’obtenir les trophées qu’ils avaient prévus à leur tableau de chasse.
Nous avons accompli un travail considérable pendant le festival, et surtout en amont, pour satisfaire la très grande majorité du public : ceux qui ont été heureux.
Il est dommage qu’une petite minorité se mette à l’index, indisposant la majorité des auteurs et des organisateurs de festivals. Les règles de fonctionnement des festivals ne sont pas les règles qu’ils souhaitent et s’en éloigneront de plus en plus, d’autant que leur mauvaise humeur risque de les faire pointer du doigt.
Vous pouvez consulter les 2 commentaires de « Malheureux » dans l’article :« C’est parti pour la 9ème édition du Festival de Puteaux ».
Je remercie tous les « Heureux » qui sont partis du Festival avec un grand sourire.
Heureux ou malheureux, l’important est de rester de bonne humeur et si quelque chose nous chagrine, rien n’empèche d’en faire part (comme nous l’avons fait) mais dans une démarche constructive. Critiquer c’est facile, proposer c’est plus difficile.Pour mémoir ce festival est organisé par des bénévoles et l’entrée est gratuite!
Bon on tourne la page et c’est parti pour les suivants!
Agnè & Alain.